— Je te jure, c’était pas une femme, c’était une lionne !
Il secoua la tête avec un sourire en coin, presque admiratif, avant de poursuivre :
— Dès que j’ai compris qu’elle me regardait autrement, je me suis rapproché, tranquille, et j’ai testé. J’ai juste effleuré son bras en lui disant un truc anodin… Et là, j’ai vu. Elle a frissonné.
Il planta ses yeux brillants dans les miens, cherchant mon approbation, puis continua, fiévreux :
— Elle m’a regardé… droit dans les yeux, mon ami. Et elle a posé sa main sur mon torse. Doucement, mais avec un truc… Un truc qui voulait dire "je te veux". Il passa une main sur son propre torse comme pour rejouer la scène, prenant un air faussement détaché :
— Moi, je me suis dit : "Ok, Karim, montre-lui ce que c’est, un vrai homme."
Son sourire s’étira, tandis qu’il haussa les épaules d’un air faussement modeste.
— Je l’ai embrassée, et crois-moi… elle n’a pas attendu pour répondre ! Elle me griffait, frère, elle me tirait contre elle, elle me mordait la lèvre. C’était une folie.
Il fit une pause, prenant une inspiration comme pour revivre l’intensité du moment, puis, avec une pointe de fierté dans la voix, il ajouta :
— Et je te jure, je crois qu’elle n’avait jamais connu ça avant.
Je haussai un sourcil, amusé, mais il enchaîna sans me laisser le temps de répondre :
— elle était en feu ! Elle murmurait des trucs en français, je comprenais pas tout, mais je sentais bien que c’était pas des prières.
Il rit, secouant la tête, avant de poser une main sur son ventre comme s’il voulait se donner plus de contenance.
— Et puis… je l’ai prise comme elle le voulait. Avec force, mais en lui laissant croire qu’elle menait la danse, la classe, quoi.
Il bomba un peu plus le torse, savourant son propre récit, puis, baissant légèrement la voix, ajouta :
— Je l’ai fait hurler.
Un silence se posa entre nous, et Karim le laissa planer un instant, satisfait, avant de me lancer un regard complice.
— Après, elle s’est laissé tomber sur moi, complètement vidée. Elle disait des trucs comme "mon Dieu" et "c’était incroyable"… et moi, je me suis juste dit : "Karim, t’es un putain de champion."
Mais il ne s’arrêta pas là, son sourire se faisant encore plus large, plus fier.
— Et tu sais quoi ?
Je haussai un sourcil, attendant la suite avec amusement.
— Elle m’a pas laissé partir.
Il éclata de rire, secouant la tête comme si lui-même n’en revenait toujours pas, puis, gonflé de certitudes, il ajouta :
— Elle en voulait encore… et encore ! Elle me tirait contre elle, me suppliant presque. Je pouvais même pas m’échapper ! Il s’appuya sur son étal, bombant un peu plus le torse, puis poursuivit, triomphant :
— Mais … je l’ai suivie, facile. Mieux, je l’ai même devancée !
Il croisa les bras sur son torse, comme pour mieux savourer l’impact de ses paroles, puis souffla :
— Elle pensait pouvoir me fatiguer ? Elle savait pas à qui elle avait affaire !
Un éclat de fierté brute traversa son regard, celui d’un homme qui venait de prouver à lui-même, et au monde entier, qu’il était à la hauteur de ses ambitions.
Je le regardai en silence un instant, faussement songeur, puis, dans un sourire en coin, je lâchai :
— Eh ben, si elle arrive encore à marcher aujourd’hui, c’est qu’elle a du cran.
Karim éclata de rire, frappant mon épaule d’un geste complice, visiblement aux anges d’avoir pu partager son exploit avec moi.
— Tais toi ! Tu crois pas si bien dire ! C’est une bombe cette femme. Je l’ai pénétrée de partout, je l’ai inondé, hein ? Tu connais mes capacités, toi ? Elle miaulait, rampait, me suppliait de recommencer… Je suis même aller si fort que je crois que je lui ai pété le cul, carrément. Elle saignait pas mais elle avait drôlement mal… Mais elle en voulait encore !
Tout à son récit enflammé, semblait revivre chaque instant avec intensité. Puis, soudain, il lâcha, dans un souffle chargé d’excitation :
— Putain, rien que d’en parler, ça m’excite terriblement.
Et avant même que je ne puisse réagir, il baissa les yeux, puis releva un regard brûlant vers moi, un sourire presque provocateur aux lèvres.
— Regarde.
Il fit un geste vers sa braguette, plaquant ses doigts de part et d’autre, et je ne pus que constater l’évidence.
Son jean, déjà ajusté, semblait au bord de céder sous la tension qui s’y manifestait, moulant sans détour la forme de sa virilité, trahissant l’effet que ce simple souvenir avait sur lui.
Je ne pus m’empêcher de sourire, mi-amusé, mi-surpris, avant de lui lancer, d’un ton faussement désinvolte :
— Faut pas la laisser dans cet état, la pauvre.
Karim eut un léger rire, haussa un sourcil et me fixa un instant, comme s’il pesait mes mots, avant de répondre, un brin provocateur :
— T’as un peu de temps ?
Je soutins son regard, un instant, avant de hausser les épaules, feignant l’indifférence.
— Avec toi, j’ai tout le temps que tu veux.
Il hocha la tête, satisfait de ma réponse, puis, dans un mouvement fluide, il tapota le guidon de sa moto stationnée juste à côté.
— Monte. On va trouver un coin tranquille.
Son sourire était confiant, sûr de lui, et je le suivis sans poser de questions, curieux de voir où cette impulsion allait nous mener.
La moto à peine enfourché et l’étal un peu éloigné, il se colla à moi à tel point que je sentais sa protubérance à travers mon short. Il la frottait littéralement contre moi, comme par reptations, augmentant son désir fou. Désir fou qui le conduisit à glisser d’un coup sa main droite dans mon short que je portais san slip, pour venir me malaxer, pour le pas dire broyer mon sexe déjà en forte érection. Sa main gauche s’inséra dans ma chemise par-dessous pour venir me caresser le torse et me titiller les tétons.
Il trouva rapidement ce petit coin connu de lui seul et pas fréquenté. Mon moteur n’était pas encore arrêté qu’il était déjà descendu pour venir m’embrasser sauvagement et prendre de force mes mains pour les guider à sa braguette qu’il ouvrit frénétiquement lui-même. J’y plongeais avec délice mes mains pour prendre son sexe turgescent, brûlant, sans toujours avoir arrêté le moteur. Il était comme fou, me dévorant la bouche avec frénésie, me léchant le visage, le cou, les oreilles, tout en me caressant le dos, les reins, pour atteindre enfin mes fesses.
— Bouffe moi le zob me lança-t-il !
Je me décidais tout de même à arrêter le moteur pour descendre de la selle et m’agenouiller face à lui. J’eu le plus grand mal à descendre son jean qui le collait trop. Pour le slip, il n’en portait pas, ce fut encore plus simple.
Je m’emparais de son gland ruisselant pour l’enfoncer au fond de ma gorge. Quel délice de sentir ce morceau de chair si dur et si chaud, si palpitant, les veines bleuies et gonflées à l’extrême ; Il râlait déjà les mains crispées s’enfonçant avec force dans ma chevelure. J’alternais à dessin la cadence et l’amplitude, en le mordillant de temps à autre sur le frein ou l’ourlet de son gland.
Il me supplia d’aller plus vite, désirant visiblement d’arriver à l’extase car trop excité par ces stimuli… Je n’en fis rien. J’insérai mes doigts dans la raie de ses fesses fermes et serrées par sa cambrure en avant et glissait mon doigt jusqu’à sa rondelle. Tout en persistant sur la succion que je pratiquais maintenant avec mes lèvres, je l’enfonçais progressivement pour venir effectuer un lent massage de sa prostate. Je le sentis se tendre encore plus, appréciant visiblement cette variante. Je fis durer, durer…. Puis voyant bien qu’il ne tiendrait plus, j’accélérais à la fois la cadence et l’amplitude tout en enfonçant mon doigt complètement à fond. Il feula avec une intonation rauque venant du plus profond de lui-même, puis explosa, tout en donnant un violent coup de rein et m’inondant d’un sacré flot de foutre que je sentis venir par giclée puissante au rythme des contraction de son périnée que je percevais parfaitement avec mon doigt. Il me prit par les aisselles pour me relever, mais je persistais à le pomper comme un fou, corrigeant le ramollissement progressif de sa verge par l’action de mes mains qui maintenaient de force son gland dans ma bouche. Maintenant il criait sous mon action des Aiiiieeee ! Aiiiiee ! Arrête, arrête, ça me brûle ! Mais je persistais sachant la sensation étrange que je lui procurais, sensation entre douleur et plaisir.
Karim resta un instant immobile, comme gelé dans une vague d’émotions et de sensations encore vives. Son souffle était court, saccadé, et il ferma les yeux un instant, comme pour reprendre ses esprits. Puis, dans un mouvement lent, il laissa tout son corps se détendre d’un coup, comme si toute la tension accumulée venait de s’évaporer en une fraction de seconde.
— Merde… souffla-t-il, un léger sourire fatigué aux lèvres.
Il fit un pas sur le côté, cherchant un appui, et sans même y réfléchir, vint se poser contre ma moto, l’épaule légèrement affaissée, comme si ses jambes refusaient encore de le porter complètement. Sa tête bascula légèrement en arrière, et je pouvais lire sur son visage ce relâchement total, cet abandon qu’il n’avait pe ...
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