La nuit tombe et je profite de la fraîcheur qui arrive. Je suis seul et je marche en écoutant le gazouillis des vaguelettes qui viennent mourir sur la grève. Le soleil est couché depuis un bon moment et la lumière ne provient plus que de la lune et des étoiles.
Les oiseaux sont silencieux et aucune bise ne vient jouer les percussionnistes avec les feuilles. Je me pose sur un rocher en regardant la mer, si calme. Je décide de me baigner et je me mets nu pour mieux profiter de cette sensation de mes parties intimes qui flottent entre deux eaux : j’adore. L’eau est fraîche ; le bain est vivifiant.
L’ambiance est légère ; je suis serein, en communion avec la nature, douce au possible, en ce début de nuit. Je profite de ces doux moments avec délectation. La fraîcheur de l’eau fait que mon pénis se rabougrit à son plus petit volume et la sensation de glisse dans l’eau en est moins plaisante. Je décide de remonter sur la grève et de me sécher avec la serviette que j’avais prévu d’apporter. Je me mets debout alors que mes genoux sont sur le point de toucher le fond et je me dirige vers mon rocher.
Là, je suis surpris par un jeune homme qui me tend ma serviette en me souriant. Il regarde mon petit kiki tout rabougri et me dit : « elle a l’air fraîche ! ». Je prends la serviette et commence à m’essuyer sans me préoccuper de cacher mon sexe (de toute façon, le gars ne l’a pas raté du regard et il continue à me mâter : « Elle va reprendre sa taille normale en combien de temps ? ». Il me provoque. De son côté, il est habillé léger, avec un short lâche qui laisse percer une jolie bosse très attirante.
Je lui réponds que ça dépend. « De quoi ? », me rétorque-t-il. Je lui réponds que ça dépend de la vitesse à laquelle mon sexe va se réchauffer et là, il quitte ma zigounette des yeux, plante son regard dans le mien et s’approche. Il tend la main vers mon épine et la prend dans sa paume. Il la malaxe et me dit : « Comme ça, elle va se réchauffer plus vite » et il colle ses lèvres aux miennes. Il est hyper attirant et je réponds à ses mouvements de langues avec ferveur. Mes mains commencent à se promener sur sa peau mais elles sont si fraîches qu’il en exprime une légère répulsion qui ne dure pas car mes mains se réchauffent aussi rapidement que ma pine qui se détend et entame une prise de volume conséquente.
Mes mains se promè ...

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