Le bitume défilait sous les pneus de ma vieille bagnole, des heures de route avalées dans un brouillard de fatigue. Mes yeux piquaient, mon corps criait pour une pause. J’ai repéré une aire d’autoroute paumée, loin des stations bondées de familles bruyantes. Celle-ci, l’aire de la Débauche, comme je l’ai surnommée plus tard, était un repaire discret, presque clandestin.
Quelques voitures éparpillées dans l’ombre, des mecs seuls, l’air en chasse, des regards qui traînent. L’ambiance était lourde, électrique, saturée d’une tension sexuelle à peine voilée.Je me suis garé près d’un bosquet, à l’écart, et j’ai filé direct aux chiottes. L’odeur d’urine et de désinfectant cheap flottait dans l’air moite. Les urinoirs étaient déserts, un silence épais régnait. J’ai baissé mon jean et mon boxer d’un coup sec, jusqu’aux chevilles, exposant mes fesses musclées et ma queue déjà à moitié dure, pendante entre mes cuisses. J’aime cette sensation de liberté, cette vulnérabilité assumée. Pendant que je pissais, un mec baraqué, tatouages grimpeurs sur les avant-bras, s’est pointé. Il s’est posté à côté, son regard glissant sans gêne sur mon cul bombé. Sans un mot, sa main calleuse a frôlé ma fesse, une caresse fugace mais brûlante, avant qu’il ne sorte sa bite épaisse pour pisser.
Nos yeux se sont croisés dans le miroir crasseux, un éclat de désir brut. Il a grogné un vague « t’es chaud, toi » avant de repartir, me laissant la queue palpitante.J’ai remonté mon boxer, mais pas trop, laissant entrevoir la courbe de mon cul, et je suis sorti m’installer à une table de pique-nique branlante sous un chêne tordu. J’ai sorti un sandwich, une bière tiède, et j’ai maté les environs. À une table voisine, deux mecs, des routiers à en juger par leurs casquettes usées et leurs jeans serrés, sirotaient des canettes. L’un d’eux, un brun aux biceps saillants, frottait son entrejambe, son regard planté dans le mien. Son pote, plus mince, la peau mate, suivait le mouvement, un sourire en coin. J’ai senti mon sexe gonfler sous la table. Sans réfléchir, j’ai desserré ma ceinture, laissé mon jean glisser jusqu’à mes chevilles, mon boxer à mi-cuisses. Ma queue, bien raide, pointait fièrement, luisante sous le soleil déclinant.
Je me suis caressé lentement, provocant, en croquant dans mon sandwich.Le brun s’est levé, sa braguette tendue à craquer. Il s’est approché, s’est assis à califourchon sur le banc en face de moi. « Joli matos », a-t-il lâché, sa voix rauque. Sans attendre, il a empoigné ma bite, sa main rugueuse m’arrachant un gémissement. Son pote nous a rejoints, déboutonnant son froc pour libérer une queue longue et veinée. Ils se sont branlés en rythme, leurs regards affamés rivés sur mon corps. Le brun s’est penché, sa langue râpeuse léchant mon gland, puis il m’a englouti d’un coup, sa gorge serrée autour de moi. J’ai grogné, mes hanches poussant instinctivement. L’autre mec s’est glissé derrière, ses doigts explorant mon cul, écartant mes fesses pour titiller mon trou. Un doigt, puis deux, s’enfonçaient en moi, pendant que le brun me suçait avec une voracité animale. J’ai joui en premier, un jet brûlant dans sa bouche, tandis qu’il giclait sur la table, son pote éjaculant dans un râle sur mon dos.Ils sont partis aussi sec, me laissant pantelant, le cul luisant de sueur et de sperme. Je me suis rhabillé à moitié et j’ai regagné ma caisse.
J’ai baissé les vitres, basculé le siège, et je me suis mis à poil, une serviette sous les fesses. Ma queue, toujours sensible, reposait contre ma cuisse. J’ai sombré dans une sieste fiévreuse, bercé par le bruit des moteurs et des portières. À travers les vitres entrouvertes, je sentais des regards, des mecs qui mataient en passant, leurs yeux luisants de désir. Personne n’osait approcher, mais l’idée qu’ils me voyaient, nu et offert, me faisait bander à nouveau.Plus tard, l’aire s’est vidé ...
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