Vacances chez Tonton et Tata.
C’est une histoire réelle qui date de l’année 1974, j’avais 18 ans. Mes parents pas trop fortunés avaient décidés que j’aille en vacances pour les deux mois ( Juillet et Aout ) chez mon oncle et ma tante près de Saumur.
Mon oncle était un personnage bourru , peu aimable et grossier. il mesurait 1, 70 mètre environ, était bedonnant, toujours mal rasé.
Ma tante, à son opposé était une petite bonne femme d’un mètre soixante, fine, douce et agréable.
Mon arrivée à la maison de pierres, enchantait ma tante Lucie, alors que l’oncle Lucien s’en foutait complétement.
Il était prévu que j’aide ma tante aux travaux jardiniers et ménagers. Cela ne m’enchantais pas plus que cela !
Les premiers jours furent calme, Lucien était présent que pour les repas ou il ne manquait pas d’accompagner son repas avec le rosé local.
Ensuite, souvent c’était la sieste pendant deux heures et ensuite il repartait au café et revenait vers 20 H 00.
Ce jour là, il faisait beau. Ma tante avait décidé de désherber les allées. Elle était en blouse légère. Nous avons commencé ce labeur. Elle m’avait demandé de faire le côté droit, alors qu’elle faisait le côté gauche.
Nous avons commencé après le repas du midi.
Tonton était à la sieste.
Chapeau de paille tout les deux, nous évoluions chaqu’un de notre côté sur des morceaux de carton pour protéger nos genoux.
Jusqu’à là, je n’avais pas porté attention, mais ma tante avait relevé sa blouse sur son dos. J’avançais moins vite qu’elle et du coups, j’avais une vue imprenable sur son postérieur !
Elle n’avait pas de culotte, et ses grosses lèvres semblaient me parler !
Elle avancée doucement, ne laissant aucune mauvaise herbes derrière elle.
Je ne connaissais rien du sexe, et n’avais jamais vu une moule ! Mais alors celle-ci, elle m’envoutait. Je sentais mon sexe qui bandait, je ne connaissais pas trop cette phase, mais là, cela me faisait du bien !
La première allée de terminée, ma tante me dit :
« Il est temps d’aller se laver, ton oncle est parti, on est tranquille pour deux heures.
la toilette se passait dans la grande cuisine. Jusqu’à maintenant, je n’avais pas assisté à celle de ma tante. Là, elle me dit :
« Autant allez dans le baquet en même temps, cela économisera de l’eau, et elle sera chaude pour nous deux ! «
Après avoir fait chauffer deux grands brocs d’eau et les avoir mélangé avec de l'eau froide, nous avions à dispo une eau tiède.
Ma tante après les avoir mélangé me dit :
« Déshabilles toi, nous nous lavons, tu vas me frotter le dos. «
Joignant le geste à la parole, ma tante se déshabille et en moins de deux secondes se retrouve nue devant moi. Malgré son âge, la cinquantaine dépassée, elle est svelte et attirante.
Elle rentre dans le grand baquet d’eau et me demande de la mouiller sur le corps et dans le dos. Je suis nu, timidement, je mouille le gant et lui frotte le corps. Je n’ose pas trop nettoyer ses parties intimes.
Mon sexe est tendu, je suis gêné !
Ma tante m’houspille et me dit :
« Frottes moi partout n’hésites pas, sinon je le fais toutes seule ! «
Je frotte donc son ventre et descends vers sa chatte. Je la frotte doucement, avec ménagement. Elle écarte les jambes et me dit : « Il ne faut pas avoir peur de frotter, même à l’intérieur ! « Du coup, j’ose regarder sa minette, elle n’a pas de poil ? J’aperçois ses grosses lèvres, je les écarte et les nettoie délicatement . Sous mes frottements, ma tante accélère son souffle.
" Je t’ai fait mal tante Lucie ? «
" Non François, c’est bien, continue ! «
Je m’approche bien d’elle, et vu mon équilibre instable, je lui agrippe les hanches.
Je n’avais pas encore remarqué la poitrine de ma tante, deux beaux petits seins bien ronds !
Je passe derrière ma tante pour lui laver ses arrières. Je caresse son dos avec le gant en frottant. Puis, je descends en suivant la courbe de son cul arrondi, il est magnifique.
J’enlève le gant et lui savonne sa raie, Tata ne dit rien, mais son souffle est irrégulier. Ma main descend le long de sa raie pour aller flatter son anus. Celui-ci trèsaiile au contact de mon doigt.
Bien enduis par le savon, j’ose tenter de l’enfoncer. Aucune opposition de ma tante. Je le frictionne et doucement il s’enfonce en elle. Elle gémit, signe de satisfaction !
Après ce moment d’égarement, tante Lucie réagit et me dit :
" Rinces moi, et à mon tour de te laver ! «
Je la rince à grande eau, et l’essuie avec une grande serviette. Elle défait son chignon et libère ses cheveux, cela la rajeunit !
Je prends sa place dans le baquet. Elle s’enroule une serviette autour de sa taille restant la poitrine à l’air. Elle me savonne le dos, le cul, et passe devant moi pour le faire à mon ventre. Elle s’aperçois très vite de mon état, sans rien dire elle prend mon sexe en main et le lave en l’astiquant. Je m’accroche à elle pour ne pas tomber. Elle me rince doucement le bas ventre , le sexe et sans prévenir le décalotte. Elle le frotte avec le gant !
Je soupire, le plaisir arrive. Elle se penche vers mon sexe, elle hume et me dit :
« Il sent bon, il est propre ! «
Puis, elle le prend en bouche et commence à le sucer religieusement. Elle s’agrippe à mes fesses, je devine sa langue qui court sur ma bite. Machinalement, mes mains remontent à sa poitrine, et caresse ses seins, il sont doux et beaux, Je les lèche et puis les tête, comme pour en extirper du lait.
Lucie s’active sur mon sexe.
Consciencieusement, elle me langue jusqu’à me donner le plaisir, et pour la première fois de ma vie, j’éjacule dans la bouche d’une femme ! Mes jambes flageoles, je m’agrippe à ma tante. Elle, pas troublée continue sa besogne et me tête jusqu’à le dernière goutte.
Après m’avoir de nouveau lavé le sexe, elle me regarde dans les yeux et me dit :
« Tu m’as fait du bien, je t’ai rendu la pareille ! C’est notre secret, ne le dis à personne, Ton oncle et tes parents serait fous et nous serions punis ! «
Sur ces paroles, elle m’embrasse sur la bouche, sa langue glissant à l’intérieur de ma bouche et se mêlant à la mienne.
C’était une autre époque, mais je regrette beaucoup, cela m’appris la vie et le plaisir.
Les jours se passaient agréablement, je ne rechignais pas à la tâche et étais récompensé de mon labeur.
Il n’y avait que le Dimanche qui était jour de repos. Ma tante préparait le repas le matin ( veau au riz ) et le midi était sacré pour l’oncle Lucien, il avalait deux à trois pastis et ensuite la bouteille de vin rosé qui descendait à une vitesse grand V .
Le r ...
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